Les théologiens s'accordent à dire que le deuxième commandement interdit d'abuser délibérément du nom de Dieu. Un tel abus consisterait à faire de faux serments ou à utiliser le nom de Dieu de manière haineuse ou provocante.
Le contexte de l'expression "Oh mon Dieu" fait toute la différence. Il est le plus souvent utilisé comme une expression de choc à l'annonce d'une situation très mauvaise ou très bonne. Dans ce cas, il peut s'agir d'une offrande révérencieuse et simplifiée de la situation à Dieu. D'autres fois, il s'agit simplement d'une réaction de surprise innocente qui, bien qu'elle soit moralement problématique lorsque le nom de Dieu est utilisé sans réfléchir, n'atteint pas un niveau de péché grave.
L'utilisation de "oh my gosh" ou "goodness" ne fait pas référence à Dieu et n'est donc pas considérée comme un péché.