Non, à condition que le plaisir obtenu ne soit pas un choix délibéré de renoncer à l'acte conjugal, c'est-à-dire un choix dans lequel l'épanouissement sexuel culmine dans la masturbation, une action dans laquelle les deux ne peuvent pas devenir un, contrairement à l'acte conjugal (voir CEC 2351-52, 2360-65 ; Gen. 2:23-24 ; Matt. 19:1-12).