Ce n'est pas parce que certains animaux ont des relations sexuelles homosexuelles qu'elles sont naturelles. Des aberrations peuvent survenir dans les espèces, et les arguments fondés sur l'absence de complémentarité sexuelle entre deux mâles et deux femelles s'appliqueraient aux animaux comme aux êtres humains.

Contrairement aux animaux, qui sont des êtres non rationnels, les personnes humaines sont faites à l'image et à la ressemblance de Dieu (Gen. 1:27), et ont donc le pouvoir de connaître et de choisir entre le bien et le mal, au lieu de se fier simplement à leurs instincts. Par conséquent, et malgré le fait que l'homme souffre de concupiscence à cause de la chute, l'homme est responsable de ses choix, et Dieu le jugera en conséquence. En d'autres termes, les personnes humaines savent mieux et devraient donc se réjouir d'avoir le pouvoir de choisir le bien plutôt que le mal et d'expérimenter la liberté et la sérénité qui vont de pair avec un bon choix (voir Jean 8:31-32 ; 14:27).