Dans la mesure où la personne dispose de son libre arbitre pour choisir de nuire à son corps, elle peut être coupable de péché. Cette liberté de la volonté peut être compromise au fur et à mesure de l'évolution d'un trouble alimentaire (comme la boulimie, par exemple), de sorte qu'une personne peut ne pas être aussi coupable par la suite qu'elle aurait pu l'être au cours des phases initiales. Quoi qu'il en soit, une telle personne serait bien avisée de se confesser. Que le péché soit mortel ou non, les grâces de la confession - ainsi que le traitement médical approprié - peuvent guérir une personne de la tentation d'abuser de son corps.