Bien que la formulation correcte doive toujours être utilisée, tant que le prêtre, en changeant les mots, ne change pas le sens, le sacrement est valide. Dans ce cas, les mots de l'absolution sont à peine changés, et aucune signification ne peut être considérée comme ayant changé ; il s'agissait donc d'une absolution valide (bien qu'illicite).