Il doit soutenir à la fois son enfant et la mère de l'enfant, même si cela est inconfortable pour sa femme et sa famille. Cela ne signifie pas qu'il doive poursuivre la relation adultère avec la mère de l'enfant, bien entendu. Mais l'enfant a droit non seulement à un soutien financier équivalent à celui accordé aux enfants légitimes de l'homme, mais aussi au temps, à l'attention et à l'amour de l'homme. La mère de l'enfant a droit à l'aide financière nécessaire pour pouvoir élever l'enfant, si elle le souhaite. Quant à la femme de l'homme, si le mariage survit, elle a l'obligation de soutenir son mari dans l'éducation de son enfant.

L'essentiel est que tous les adultes fassent tout ce qui est en leur pouvoir pour mettre de côté leurs différences dans l'intérêt de l'enfant, qui ne partage pas le péché à l'origine de sa conception et qui a droit à l'amour et au soutien de ses deux parents.