Comme pour la femme pécheresse qui oignit les pieds du Seigneur dans la maison de Simon, la quantité utilisée n'était pas dictée par des nécessités pratiques, mais était un signe de l'honneur dû et accordé au Seigneur lui-même. Quarante livres ont été utilisées pour les funérailles du rabbin Gamaliel, alors cent livres (ou plus probablement environ soixante-quinze de nos livres) seraient un signe d'extrême vénération de la personne de Jésus. Cet excès est un signe à la fois de l'amour des disciples de Notre Seigneur et de sa dignité suprême.