Si quelqu'un voit son frère pécher, si le péché n'est pas mortel, il doit prier Dieu et il lui donnera la vie. (1 Jn, 5:16)

Ce passage de l'Écriture est à la base de la distinction faite par l'Église entre le péché mortel et le péché véniel (Catéchisme, 1854). L'Église enseigne que les péchés véniels blessent mais ne rompent pas notre relation à Dieu, alors que les péchés mortels rompent notre relation à Dieu. Un péché qui rompt notre relation avec Dieu, qui est la vie elle-même, est à juste titre qualifié de "mortel".