Le droit canonique étend le sceau à d'autres personnes. Si un interprète est utilisé pour la confession, il est également lié par le sceau de la confession (can. 983 §2). Le même canon qui interdit à un interprète de révéler une confession mentionne également que toute personne qui entend une confession est également liée par le sceau. Par conséquent, toute personne qui attend dans la file d'attente pour la confession et qui entend quelque chose d'une confession n'est jamais autorisée à révéler à quelqu'un d'autre ce qu'elle a entendu.

Cependant, rien dans le droit canonique n'interdit au pénitent lui-même de révéler ce qui s'est passé pendant la confession. Toute personne est libre de raconter à tout le monde ce qu'elle a dit au prêtre et ce que le prêtre lui a répondu.