Une femme très menue ne pouvait porter que deux de ses triplés à terme sans se tuer et tuer deux d'entre eux. Elle a donc choisi d'en avorter un. Si elle ne l'avait pas fait, il n'y aurait eu qu'un seul bébé sans mère. Que faire dans une telle situation ?
Elle avait un autre choix, et c'est le seul qui vaille : Elle aurait pu choisir de ne pas avorter et de s'en remettre au Seigneur. Il n'est jamais en reste de générosité. Pourquoi pense-t-on toujours à lui en dernier ? Je connais un cas où les médecins ont enlevé un kyste de la taille d'un poing qui se trouvait à côté d'un bébé dans le ventre de sa mère. Une telle opération provoque toujours une fausse couche spontanée. Mais la famille a prié et s'en est remise à Dieu. Non seulement le bébé n'a pas été expulsé de l'utérus, mais il est maintenant le prêtre qui répond à cette question.