Pour être clair, Dieu ne veut pas de mauvaises choses pour nous.

Comme le prophète Jérémie transmet la parole de Dieu à l'époque de l'Ancien Testament, "Car je connais les projets que j'ai sur vous, dit le Seigneur, des projets de bonheur et non de malheur, pour vous donner un avenir et une espérance" (Jér. 29, 11). Et comme nous le rappellent saint Paul et saint Pierre, Jésus - Dieu qui s'est fait homme pour nous - veut pour toute personne créée le plus grand bien possible : le salut éternel au ciel avec lui, le Père et le Saint-Esprit (1 Tm 2,4-5 ; 2 P 3,9).

D'autre part, Jésus dit que nous devons porter nos croix pour l'imiter, mais que ces croix seront rédemptrices, et non destructrices, si nous marchons avec lui (Matt. 16:24-25). De même, saint Paul enseigne que nous pouvons subir ce que l'on pourrait appeler des "miséricordes sévères", mais qu'elles sont permises par Dieu pour notre bien perfectif, et non pour notre destruction (voir 2 Cor. 12:8-10). De même, dans notre propre vie, nous pouvons constater que la réalisation d'objectifs professionnels et personnels valables exige des sacrifices.