Après sa résurrection, Jésus a institué le sacrement de la réconciliation (confession), donnant à ses apôtres le pouvoir d'absoudre les fidèles de leurs péchés (Jean 20:21-23).
Comme nous l'indiquons dans notre tract sur le sujet :
Au fil du temps, les formes sous lesquelles le sacrement a été administré ont changé. Dans l'Église primitive, les péchés connus publiquement (comme l'apostasie) étaient souvent confessés ouvertement à l'église, bien que la confession privée à un prêtre ait toujours été une option pour les péchés commis en privé. Cependant, la confession n'était pas seulement quelque chose que l'on faisait en silence à Dieu seul, mais quelque chose que l'on faisait "à l'église", comme l'indique la Didaché (70 apr. J.-C.).
Pour en savoir plus sur ce sujet, voir notre tract susmentionné.