L'Église présume que le premier échange de vœux est valide jusqu'à preuve du contraire (canon 1060). Cela signifie que, sans annulation, une personne divorcée n'est pas libre de se remarier et que tout échange de vœux ultérieur serait invalide. Le mariage, cependant, est "jusqu'à ce que la mort nous sépare" et, par conséquent, le lien du mariage cesse avec la mort du conjoint.

Dans la situation que vous décrivez, si le deuxième échange de vœux n'est pas valide, à la mort du premier conjoint, vous êtes libre de vous remarier. Pour recevoir la communion, vous devrez d'abord valider votre mariage civil actuel dans l'Église.