Premièrement, ont-ils fait appel de leur(s) décision(s) concernant l'annulation ? Ce serait la première étape, en supposant qu'ils soient encore dans le délai pour faire appel. Si ce n'est pas le cas, et s'ils n'ont pas été informés qu'ils avaient le droit de faire appel de la décision d'un tribunal diocésain, ce qui semblerait plutôt inhabituel, ils pourraient éventuellement chercher à faire appel pour ces raisons.

En tout état de cause, s'ils n'obtiennent pas une déclaration de nullité en appel, ils pourront toujours devenir catholiques, mais selon l'enseignement de Jésus-Christ que l'Église soutient, ils devront vivre comme frère et sœur, c'est-à-dire sans relations conjugales comme mari et femme (Pape Saint Jean Paul II, Familiaris Consortio 84).

Un tel mode de vie impliquerait certainement un sacrifice de soi, mais avec la grâce de Dieu, il serait non seulement possible mais certainement préférable au mépris des enseignements de l'Église en raison des grâces qu'ils recevraient des sacrements, en particulier de l'Eucharistie, de la confession et du mariage lui-même.

Mais commençons par le commencement. Prenez contact avec un pasteur de la paroisse locale et avec le tribunal diocésain pour connaître leur position exacte concernant la procédure d'annulation.