Le perdant, c'est votre fils. Je réfléchirais longuement avant de lui infliger un divorce. Vous et votre femme avez choisi de vous marier. Il n'a pas choisi de naître. Il mérite un foyer avec une mère et un père. Je n'essaie pas de vous culpabiliser. Ce sont simplement les faits. S'il est absolument impossible pour vous deux de rester ensemble, l'Église autorise le divorce civil pour le partage équitable des biens qui ont été détenus en commun. Je connais un cas où l'enfant est resté dans la maison et où les parents ont alterné une semaine sur deux pour que l'enfant ne soit pas ballotté d'un endroit à l'autre pendant le reste de son enfance. Je félicite les parents de s'être manifestement préoccupés davantage de l'enfant que d'eux-mêmes. Si vous vous séparez, vous pouvez tous deux recevoir les sacrements tant que vous êtes en état de grâce. Mais vous êtes toujours mariés et il est hors de question de sortir avec d'autres personnes, à moins que vous ne puissiez faire annuler le mariage. Ce livre vous donnera tout ce que vous devez savoir sur les annulations : Annulments and the Catholic Church d'Edward Peters, disponible sur shop.catholic.com ou par téléphone : 888 291 8000.