Les catholiques croient que les hommes et les femmes naissent en tant qu'hommes et femmes et qu'ils ne peuvent pas "passer" à un autre sexe. L'Église enseigne qu'une personne née femme reste une femme, quelles que soient les thérapies hormonales ou les opérations chirurgicales subies par cette personne pour tenter de devenir un homme. C'est pourquoi l'Église considère qu'une relation romantique entre une femme et un "homme trans" est une relation romantique entre deux femmes et donc une forme d'activité homosexuelle. L'Église affirme que l'activité homosexuelle est un péché grave :

L'homosexualité désigne les relations entre des hommes ou des femmes qui éprouvent une attirance sexuelle exclusive ou prédominante pour des personnes du même sexe. Elle a pris des formes très variées au fil des siècles et des cultures. Sa genèse psychologique reste largement inexpliquée. S'appuyant sur l'Ecriture Sainte, qui présente les actes homosexuels comme des actes de grave dépravation, la tradition a toujours déclaré que "les actes homosexuels sont intrinsèquement désordonnés". Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l'acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d'une authentique complémentarité affective et sexuelle. Ils ne peuvent en aucun cas être approuvés (CEC 2357).